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"Il n’y aura pas de deal israélo-saoudien tant que Hamas et le Hezbollah ne seront pas éliminés", a déclaré le sénateur républicain
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Elle a accusé Israël d’être hostile à la solution à deux États et de compter en son sein des responsables incitant à la haine "contre les Palestiniens, les Arabes et les musulmans"
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Selon lui, Israël et ses offensives répétées constituent aujourd’hui la "véritable menace stratégique" dans la région.
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Un soutien financier crucial pour éviter l’effondrement de l’AP, au moment où plusieurs pays mènent une campagne internationale pour stabiliser ses institutions.
La condition saoudienne d’un « chemin crédible et irréversible » vers un État palestinien est, selon l’expert, un prétexte diplomatique.
Selon Tamir Hayman, cette initiative fragilise la supériorité militaire d’Israël et fait peser un “danger grave” sur l’alliance historique entre Jérusalem et Washington.
Une normalisation immédiate est politiquement intenable au sein d’une société saoudienne profondément hostile à Israël, argue Mohammed ben Salmane
Pour l’heure, aucune date officielle n’a été annoncée, même si les deux points de vente devraient ouvrir dans le courant de l’année 2026
"Le dossier palestinien est au bas de la liste des priorités saoudiennes. Il s’agit surtout d’un discours de façade, loin d’être comparable aux intérêts stratégiques avec les États-Unis"
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"Un État palestinien ne sera pas établi. C’est une menace existentielle pour Israël"
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La porte-parole du Premier ministre rappelle que Washington et Jérusalem sont liés depuis des décennies par une entente destinée à préserver la supériorité technologique de l’État hébreu.
Le président Massoud Pezeshkian a assuré dans un message à Mohammed ben Salmane que l’Iran privilégie une sortie diplomatique, à condition que ses droits soient pleinement garantis.
Cette orientation répond à un principe inscrit dans la législation américaine qui garantit la supériorité militaire d'Israël dans la région
Une décision qui rebat les équilibres régionaux, alors que Riyad conditionne toujours toute normalisation avec Israël à une avancée vers un État palestinien.
Accueilli en allié majeur par Donald Trump, Mohamed Ben Salman obtient des avancées stratégiques inédites, du nucléaire civil aux F-35.
"Je préférerais que les Saoudiens ne se rapprochent pas de nous s’ils n’en ont pas réellement l’intention, et qu’ils ne nous mettent pas en danger"
L'accord inclut la vente par les États-Unis de F-35, de 300 chars, une coopération nucléaire civile ainsi que dans les secteurs des minerais, des ressources naturelles et de l'IA
"J’espère que votre altesse en fera partie", a-t-il déclaré au prince héritier saoudien au sujet de l’instance chargée d’administrer la bande de Gaza jusqu’à fin 2027
Une normalisation « inévitable mais pas immédiate », où chaque camp jauge ce qu’il est prêt — ou non — à payer.
Reçu en grande pompe à la Maison Blanche, Mohammed ben Salmane a affiché sa volonté d’intégrer les accords d’Abraham tout en réaffirmant son exigence d’un véritable horizon pour un État palestinien.
Au-delà du faste protocolaire, le prince héritier saoudien et le président américain entendent sceller de nouveaux accords économiques et militaires.
La vente de F-35 pourrait faire face à des résistances au Congrès, où plusieurs élus restent critiques à l’égard du royaume depuis l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi
Alors que Riyad se rapproche des États-Unis face à l’Iran, Israël redoute un rééquilibrage militaire et espérait conditionner l’opération à un geste saoudien vers les Accords d’Abraham.
Israël redoute que sa supériorité aérienne au Moyen-Orient soit menacée