Guerre de Kippour

Peu connue, l’implication de pilotes nord-coréens aux côtés de l’Égypte et de la Syrie pendant la guerre du Kippour a marqué un épisode insolite de l’histoire militaire.

Il a fallu deux décennies pour qu'Israël reconnaisse que les soldats ayant participé à la guerre du Kippour souffraient de stress post-traumatique

"Les forces syriennes nous encerclaient avec 10 chars. Nous étions piégés. Nous avions reçu l'ordre de nous réfugier dans le bunker de Tel Saki"

L’insouciance, puis la surprise et le chaos, dans les yeux de jeunes recrues de Tsahal. Raconter la guerre du Kippour sur scène en 1h30. Il fallait oser.

L'exposition revisite la guerre elle-même, en s'appuyant sur les témoignages visuels et textuels de quatre hommes

La peur de laisser sa famille ? De mourir ? "Je n’ai pas peur, je crois en Dieu, je n’ai même pas pensé une seconde à la mort"

La guerre d’octobre, connue sous le nom de guerre de Kippour, a laissé des traces en Egypte aussi. Shoukria Shalzi était un enfant du Caire. Il se souvient

"Sadate lui-même affirmait que c'était grâce à Golda Meir que les négociations de paix avec Israël avaient commencé"

"Le chef de la base m'a dit avoir 72 heures pour préparer les tanks. L'armée égyptienne n'a pas attendu 72 heures. Elle n'a même pas attendu 72 secondes"

"A cette époque, chaque soldat possédait son propre uniforme tout en haut d’une armoire de la maison. C’était le seul détail organisé d’une armée en panique"