Fenêtre sur les médias arabes

Al Ahram: Egypte, média officiel, le plus grand quotidien au Moyen-Orient

"Les médias sociaux réagissent après que les autorités saoudiennes ont nié les rapports faisant état de l'ouverture du premier cinéma dans le royaume"

"Les actions égyptiennes chutent dimanche alors que les prix du pétrole continuent de dégringoler"

"Des avocats égyptiens cherchent à prolonger de 5 ans la peine d'officiers qui ont torturé à mort un civil"

"Au-delà de la mémoire: explorer la nostalgie après les révolutions arabes", texte d'opinion de Shereen Abou El-Naga

L'auteur soutient que le sentiment d'insécurité et l'instabilité observables dans le monde d'aujourd'hui entraînent certains à être nostalgiques du Moyen-Orient d'avant les révolutions arabes. "Nous voyons maintenant des armes dans la vraie vie au lieu de dans les films, nous nous rendons compte de la fragilité des régimes que nous pensions invincibles (...). Le monde que nous connaissions a complètement changé. Les conditions cognitives dans lesquelles nous avons vécu dans le passé ne sont plus viables dans un monde comme celui-ci. Mais le passé n'a pas toujours été merveilleux et bienveillant, et ainsi nous aspirons à ce qui nous fait sentir en sécurité, stable et humain (...)."

Alghad: Jordanie, indépendant

"Reportage spécial: Comment les hommes de Saddam ont aidé Daesh"

"Roi Abdallah: toute la planète est menacée par les changements climatiques" (30 novembre)

"Les nouvelles salles de classe pour l'école d'Irbid dévoilées" (29 novembre)

"Daesh remue les alliances", texte d'opinion de Fahed Khitan (18 novembre)

L'auteur affirme que "le monde entier est aujourd'hui dans une confrontation ouverte avec Daesh (acronyme arabe du groupe État islamique, ndlr) et ses branches dans tous les continents. L'Europe est menacée et ses chapiteaux en état d'alerte. La question n'est plus le niveau de risque, la question est: où et quand vont frapper les terroristes? Le Moyen-Orient est au cœur de la bataille. Après les attentats à Beyrouth et l'opération à Charm al Sheikh, personne n'est à l'abri du terrorisme."

Asharq al-Awsat: Londres, près de la famille royale saoudienne

"Maliki et Ameri, marche de protestation des 'Forces de mobilisation populaire' contre Ankara"

"Le Gardien des Deux Saintes Mosquées (le roi saoudien, ndlr) publie 12 décrets royaux" (12 décembre)

"Ministre saoudien du Commerce: Notre pays a des politiques économiques à la hauteur défis mondiaux" (9 décembre)

"Opinion: Est-ce que le Conseil de coopération du Golfe a changé?", texte d'opinion de Salman Aldosary (12 décembre)

L'auteur croit que "la nouvelle clause incluse vendredi dans la "Déclaration de Riyad" peut augmenter le rythme des réalisations et des changements de l'organisation dans la structure du Conseil. Les États membres auront la possibilité de trouver un accord entre un certain nombre d'entre eux (...) Avec cette nouvelle transformation, il sera possible que deux ou trois pays procèdent à des projets qu'ils jugent appropriées dans le cadre du Conseil, sans qu'il soit nécessaire que le reste des pays adhèrent à ces projets (...)".

An-Nahar: Liban, semi-officiel

"Gemayel: le système politique libanais a échoué"

"Les rebelles tirent des volées d'obus de mortier sur Damas"

"Le Liban commémore le 10e anniversaire de l'assassinat de Tueini" (12 décembre)

The National: Abu Dhabi, média qui appartient au gouvernement

"Cheikh Mohammed bin Zayed entame une visite en Chine à la Grande Muraille"

"Des inspections scolaires à Abu Dhabi révèlent des châtiments corporels et des enseignants absents"

"Le 24 décembre devient un jour férié pour souligner l'anniversaire de Mahomet"

"La clé d'une bonne gouvernance est la communication", texte d'opinion par Sheikh Sultan bin Ahmed Al Qasimi

Selon l'auteur, "les communications gouvernementales en sont encore à leurs balbutiements dans le monde arabe et nous avons besoin de les structurer d'une manière qui leur permette de jouer leur rôle légitime dans la société." "Il est grand temps", écrit-il, qu'un "discours basé sur la communication directe entre le citoyen et le gouvernement dans un climat de confiance mutuelle et de bonne volonté" soit établi.