normalisation

"Il n’y aura pas de deal israélo-saoudien tant que Hamas et le Hezbollah ne seront pas éliminés", a déclaré le sénateur républicain

Parmi les forces opérant en Syrie et considérées comme une menace potentielle d'invasion du nord du pays, figurent notamment les Houthis

Une normalisation immédiate est politiquement intenable au sein d’une société saoudienne profondément hostile à Israël, argue Mohammed ben Salmane

"Le dossier palestinien est au bas de la liste des priorités saoudiennes. Il s’agit surtout d’un discours de façade, loin d’être comparable aux intérêts stratégiques avec les États-Unis"

Israël n’envisagerait de se retirer que d’une partie des zones prises en territoire syrien depuis la chute d'Assad et uniquement dans le cadre d’un accord de paix global

"La situation en Syrie diffère de celle des pays qui ont rejoint l'accord. La Syrie partage une frontière avec Israël, qui occupe le Golan", a-t-il déclaré

"Nous étions un pays marginal, aujourd'hui nous nous exprimons à Washington. Nous avons établi de nouvelles relations avec tous les pays"

“C’est une étape majeure pour la paix et la prospérité dans le monde. D’autres nations suivront très bientôt”, a affirmé Donald Trump

Jusqu'à maintenant, Riyad conditionne toute adhésion aux accords à l'avénement d'une solution à deux Etats

« Continuez à vous promener à dos de chameau dans les sables du désert saoudien, nous, nous poursuivrons notre développement", a lancé le ministre à l'adresse des Saoudiens

"Le peuple tunisien a toujours refusé la normalisation, qu’il considère comme une trahison nationale, arabe et humaine", ont insisté les initiateurs

L'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis ont convenu qu'une annexion israélienne constituerait une "ligne rouge"

La vice-ministre israélienne des Affaires étrangères s'est dite convaincue qu'une normalisation sans reconnaissance d’un État palestinien était possible

Selon Riyad, l'arrangement qui se dessine en Syrie constitue une préparation à un accord entre Israël, l'administration américaine et les Palestiniens, sans le Hamas

Israël exige des garanties que ces pourparlers déboucheront sur un accord de paix global et une normalisation des relations, reconnaissant toutefois que "ce n'est pas pour demain"

"Nous accueillerons favorablement l'adhésion de la Syrie à la normalisation, aux côtés de l'Arabie saoudite", a déclaré le chef de la diplomatie israélienne

Un responsable syrien impliqué dans ce processus a même indiqué que son pays n'excluait pas la possibilité de parvenir à un accord de paix avec Israël avant la fin du mandat de Trump

Une percée dans la normalisation israélo-saoudienne n'est attendue qu'à la fin des combats dans la bande de Gaza, selon cette source

"Nous devons reconnaître l'indépendance et la souveraineté d'Israël et son droit à la sécurité", a déclaré le président indonésien Prabowo Subianto

"Cela ne veut pas dire que nous ne pouvons pas avoir de discussions dès maintenant", a souligné Khalid bin Bandar Al Saud

"S'il y a un accord avec l'Arabie saoudite, je ne vois pas l'administration Trump donner le feu vert à cette annexion", a estimé Mike Herzog

"Nous devons tout faire pour nous intégrer dans la grande vision de la normalisation"

Riyad considère aussi qu’accepter des relations avec Israël sans fondation d'un État palestinien porterait atteinte à son statut de leader du monde musulman et arabe

Jérusalem et Djakarta avaient prévu d'officialiser leur rapprochement diplomatique en octobre dernier