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Alors que la Turquie cherche à étendre son influence militaire et économique en Syrie, la Russie s’impose de plus en plus comme un médiateur discret dans le dialogue israélo-syrien.
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Moscou mènerait déjà une guerre hybride contre l'Occident par des actes de sabotage, la diffusion de désinformation et des incursions répétées dans l'espace aérien de l'OTAN
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Israël préférerait autoriser la présence russe en Syrie plutôt que de voir la Turquie tenter de s'implanter dans le sud syrien
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Moscou se dit en revanche attentive aux initiatives de Washington, alors que les pourparlers restent fragiles et sans percée majeure à ce stade.
La Corée du Nord a officiellement célébré le retour de soldats déployés en Russie, Kim Jong-un rendant un hommage appuyé à une unité engagée aux côtés des forces russes dans la guerre en Ukraine.
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Cette initiative intervient alors que Washington accentue la pression sur Kiev pour parvenir à un accord mettant fin à la guerre avec la Russie avant la fin de l’année.
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Une mise au point diplomatique qui intervient alors que Jérusalem tente de maintenir un équilibre délicat entre Moscou et Kiev.
Un dialogue fragile, alors que Moscou se dit ouvert aux pourparlers tout en poursuivant ses offensives.
Face à une Russie imprévisible et à une guerre qui pourrait déstabiliser toute l’Europe, le général français Jean-Paul Paloméros appelle l’OTAN à afficher une fermeté absolue.
Des déclarations explosives avant sa rencontre avec l’émissaire américain Steve Witkoff, alors que Washington tente de relancer un processus de paix en Ukraine.
Ce n'est pas la première fois que la communauté juive et ses institutions sont frappées par les bombardements russes
Le Kremlin a proposé la paix par les affaires : Washington prêt à suivre, au grand dam de l’Europe.
Coopération éducative, échanges universitaires, soutien militaire et même tourisme : les liens bilatéraux s’intensifient à tous les niveaux.
L’Ukraine redoute plusieurs concessions prévues dans le texte soutenu par Donald Trump et Vladimir Poutine.
L’idée de « dégeler » ces fonds pour financer une reconstruction pilotée par Washington, avec 50 % des profits reversés aux États-Unis, suscite la fureur des diplomates européens.
Moscou accuse le projet américain d’ignorer le droit international.
L'objectif de la Russie est de permettre à l'ONU de développer "une approche équilibrée, acceptable et unifiée pour parvenir à une cessation durable des hostilités"
Son absence prolongée de la scène publique, survenue après l’échec des négociations avec Washington au sujet du sommet Poutine-Trump, avait alimenté les spéculations sur sa mise à l’écart.
Le chef du Kremlin a insisté sur le respect par la Russie du Traité d'interdiction complète des essais nucléaires, tout en préparant le terrain pour une possible riposte
Selon les services de renseignement sud-coréens, environ 5.000 soldats nord-coréens ont été envoyés en Russie depuis septembre pour participer à des travaux de « reconstruction ».
« Si Poutine attaque Bruxelles, nous rayerons Moscou de la carte »
Le New York Post a récemment rapporté qu'Assad avait été empoisonné en Russie il y a un mois et qu'il avait été hospitalisé dans un état grave
Les autorités invoquent l’action de partisans d’une « organisation terroriste » interdite en Russie.
"Il n'est pas clair si l'empoisonnement résulte d'une erreur ou d'un acte délibéré"
