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  • Réseaux sociaux et santé mentale : une étude révèle que le vrai danger n’est pas celui qu’on croit

Réseaux sociaux et santé mentale : une étude révèle que le vrai danger n’est pas celui qu’on croit


Les chercheurs montrent que ce n’est pas la durée d’utilisation qui abîme la santé mentale, mais l’usage problématique fondé sur la comparaison sociale et l’addiction.

i24NEWS
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2 min
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  • Réseaux sociaux
  • Santé mentale
Océane Nicolle, journaliste i24NEWS
Océane Nicolle, journaliste i24NEWSScreenshot/ i24NEWS

Alors que l’on accuse régulièrement Instagram, TikTok ou Snapchat de miner la santé mentale des 18-24 ans, une nouvelle étude américaine vient bousculer les idées reçues : le temps passé à scroller n’est pas, en soi, le principal coupable.

Video poster
Réseaux sociaux : passe-t-on tant de temps à scroller?

Des chercheurs ont suivi 295 jeunes Américains, dont l’usage des réseaux (Facebook, Instagram, TikTok, Snapchat, X) a été mesuré pendant deux semaines. Puis, ils ont accepté de couper entièrement les réseaux pendant sept jours. Objectif : comprendre l’impact réel d’une pause numérique sur l’anxiété, la dépression, la solitude ou l’insomnie.

Le résultat est surprenant :


👉 Le temps d’écran et les notifications sont faiblement corrélés aux symptômes psychiques.

👉 Les troubles n’explosent que lorsqu'il existe une utilisation problématique ou addictive, marquée par une comparaison sociale permanente : plus beau, plus riche, plus populaire que moi…

Autrement dit : ce n’est pas l’intensité d’usage qui fait mal, mais la manière de l’utiliser — et l’état émotionnel dans lequel on se trouve lorsque l’on ouvre ces applications.

La semaine de « détox » a cependant montré des bénéfices nets chez les jeunes les plus fragilisés :

📉 –16,1 % de symptômes d’anxiété

📉 –24,8 % de symptômes dépressifs

📉 –14,5 % d’insomnie

Les chercheurs en concluent qu’il faut cibler les usages à risque— addiction, comparaison négative, impossibilité de décrocher—plutôt qu’appeler à un bannissement pur et simple des réseaux.

Un message de prudence, surtout pour les jeunes déjà vulnérables émotionnellement : ce n’est pas l’écran qui abîme, mais ce que l’on y cherche… ou ce qu’on y croit trouver.

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