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La CPI juge "envisageable" des audiences par contumace pour Netanyahou et Poutine


Sous sanctions américaines, la CPI envisage désormais des audiences par contumace visant Benjamin Netanyahu et Vladimir Poutine.

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FILE - Russian President Vladimir Putin, right, shakes hands with Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu during their meeting in the Kremlin in Moscow, Russia, Thursday, April 4, 2019
FILE - Russian President Vladimir Putin, right, shakes hands with Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu during their meeting in the Kremlin in Moscow, Russia, Thursday, April 4, 2019AP / Alexander Zemlianichenko 2019 ©

La Cour pénale internationale (CPI) riposte aux pressions de Washington et ouvre la porte à une procédure inédite visant Benjamin Netanyahou et Vladimir Poutine. Dans un entretien accordé à l’AFP, le procureur adjoint Mame Mandiaye Niang dénonce des sanctions américaines « assimilant les responsables de la CPI à des terroristes et des trafiquants de drogue », imposées après les mandats d’arrêt émis contre le Premier ministre israélien dans le cadre de la guerre à Gaza.

Ces sanctions bouleversent son quotidien : carte de crédit bloquée, impossibilité d’effectuer des virements familiaux, abonnements paralysés. Au-delà de l’atteinte personnelle, c’est selon lui « la seule juridiction permanente chargée de juger les crimes de guerre » qui se trouve fragilisée et délégitimée.


Face à l’absence de coopération internationale rendant improbable l’arrestation de Netanyahou ou de Poutine, Niang confirme que la CPI pourrait tenir une audience par contumace pour « confirmer les charges », à l’image de ce qui a été fait récemment pour le chef rebelle ougandais Joseph Kony. Une procédure « lourde mais possible », qui permettrait de préserver les preuves et de donner la parole aux victimes.

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Le procureur adjoint reconnaît également que l’enquête visant le procureur Karim Khan pour des accusations d’abus sexuels – qu’il nie – « a pourri l’atmosphère de la cour » et a offert à certains États le prétexte pour attaquer la CPI, notamment sur le dossier palestinien.

Malgré ce contexte hostile, Niang demeure combatif : le monde, dit-il, « a besoin de la Cour plus que jamais », citant les récentes avancées comme l’arrestation de Rodrigo Duterte ou la condamnation d’un chef de milice soudanais. « La Cour existe parce que les crimes persistent. Nous avons encore du travail."

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