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L'ancien otage Segev Kalfon raconte comment il cousait des kippot pour survivre en captivité


"C’était à la fois une occupation et une manière de préserver notre identité"

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3 min
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L'ancien otage Segev Kalfon
L'ancien otage Segev KalfonYonatan Sindel/Flash90

Dans un entretien accordé à la chaîne Mashav, Segev Kalfon, ancien otage détenu par des terroristes à Gaza, est revenu sur les moyens qu’il a trouvés pour préserver sa dignité, son identité juive et sa force morale durant sa captivité. Il y évoque notamment sa profonde nostalgie de la boulangerie familiale et son inquiétude constante pour ses parents, laissés seuls alors que leur fils était kidnappé.

https://x.com/i/web/status/2001921656554663990

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Hanoucca occupe une place centrale dans son récit. Kalfon explique avoir célébré la fête à deux reprises en captivité, des moments particulièrement douloureux. Il confiait alors à ses geôliers que c’était pour lui la période la plus difficile de l’année, tant elle lui rappelait l’ambiance chaleureuse de la boulangerie, les soufganiyot (beignets) et l’effervescence familiale. Il se demandait sans cesse comment ses parents parvenaient à tenir, à la fois accablés par son enlèvement et par la charge de travail à la boulangerie.


Au fil de l’entretien, Segev Kalfon révèle un geste devenu pour lui un acte de résistance intime. Prétextant la nécessité de réparer un vêtement, il est parvenu à obtenir une aiguille et du fil de la part de ses geôliers. Il a alors découpé une galabiya qui leur avait été donnée pour coudre des kippot (pluriel de kippa), qu’il brodait du prénom de chaque otage. "C’était à la fois une occupation et une manière de préserver notre identité", explique-t-il. Porter ces kippot se faisait cependant dans une peur constante : elles étaient rapidement dissimulées à l’approche des terroristes. Il raconte avoir frôlé la découverte en pleine prière, sauvé in extremis par l’avertissement d’un autre otage.

Video poster
Famille de Segev Kalfon

Segev Kalfon décrit également les premiers mois de détention comme une période de silence total. Pendant quatre mois, il ne savait même pas avec qui il partageait sa maigre nourriture, les otages n’ayant pas le droit de parler. Lorsqu’il a tenté de murmurer quelques mots à l’un d’eux, il a été violemment battu par le terroriste chargé de les surveiller.

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