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États-Unis : l'université de Georgetown rompt discrètement ses liens avec Francesca Albanese


"Le renvoi d'une responsable qui a maintes fois tenu des propos antisémites et justifié le terrorisme est une mesure nécessaire ; L'ONU doit maintenant suivre l'exemple de Georgetown" (UN Watch)

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Francesca Albanese, Rapporteure spéciale des Nations Unies sur la situation des droits de l'homme dans les territoires palestiniens
Francesca Albanese, Rapporteure spéciale des Nations Unies sur la situation des droits de l'homme dans les territoires palestiniensFabrice COFFRINI / AFP

L’université de Georgetown a retiré de ses listes d’affiliation la rapporteuse spéciale de l’ONU sur la question palestinienne, Francesca Albanese, récemment sanctionnée par les États-Unis. L’information a été révélée par l’organisation UN Watch, qui surveille les dérives au sein des institutions onusiennes.

Selon UN Watch, le nom de Francesca Albanese a disparu du site officiel de Georgetown, où elle était jusqu’alors présentée comme chercheuse affiliée. Des captures d’écran diffusées par l’ONG montrent sa page de profil avant sa suppression, puis un message d’erreur une fois celle-ci retirée. Le directeur de UN Watch, Hillel Neuer, s’est félicité de cette décision, accusant Albanese de complaisance envers le terrorisme et appelant les universités à se dissocier de toute figure qu’il considère comme soutenant des organisations terroristes.

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"Antisémitisme virulent" : l'ONU dans le viseur des USA

Du côté américain, plusieurs organisations pro-israéliennes ont salué la décision de Georgetown. Heather Johnston, fondatrice de la U.S. Israel Education Association, a estimé que les universités ne devaient pas accorder de légitimité académique à une personnalité accusée de déformer l’histoire et de minimiser les violences contre les civils.


Toutefois, les raisons exactes du retrait restent floues. Le journaliste d’i24NEWS Mike Wagenheim a indiqué avoir été en contact avec Georgetown, qui lui aurait expliqué de manière informelle qu’il s’agissait d’un nettoyage administratif de son site internet, visant à ne conserver que les personnes directement employées par l’université, et non les chercheurs affiliés. Une confirmation écrite officielle de cette version était toutefois toujours attendue.

Francesca Albanese est dans le collimateur de Washington depuis l’été dernier. En juillet, le secrétaire d’État Marco Rubio a annoncé des sanctions américaines à son encontre, lui reprochant d’avoir coopéré avec la Cour pénale internationale (CPI) dans des démarches visant des ressortissants américains et israéliens, sans l’accord des États concernés. Les États-Unis et Israël ne sont pas parties au Statut de Rome, traité fondateur de la CPI. Dans son communiqué, le département d’État l’a également accusée de tenir des propos antisémites, d’exprimer un soutien au terrorisme et de manifester une hostilité ouverte envers les États-Unis, Israël et le monde occidental.

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Le Hamas, "avant tout une autorité politique"

Les déclarations de la rapporteuse spéciale ont suscité de vives réactions internationales par le passé. En février 2024, la France et l’Allemagne l’avaient publiquement condamnée après qu’elle eut contesté la qualification par Emmanuel Macron des attaques du 7 octobre menées par le Hamas comme "le plus grand massacre antisémite de notre siècle". Albanese avait alors affirmé que les victimes n’avaient pas été tuées en raison de leur judaïté, mais en réaction à la politique israélienne. Paris et Berlin avaient jugé ces propos particulièrement choquants, estimant qu’ils tendaient à justifier les crimes terroristes du Hamas et à en nier la dimension antisémite.

"Nous saluons la décision de l'université de Georgetown", a déclaré Hillel Neuer, directeur exécutif de UN Watch. "Les institutions universitaires ont la responsabilité de respecter les normes fondamentales d'intégrité et de dignité humaine. Le renvoi d'une responsable qui a maintes fois tenu des propos antisémites et justifié le terrorisme est une mesure nécessaire pour rétablir ces normes."

"Cela envoie un message important", a ajouté M. Neuer. "Les postes à responsabilité au sein des Nations unies ne confèrent pas l'immunité, et les universités ne devraient pas servir de refuge à ceux qui abusent de leur tribune pour promouvoir la haine." "L'ONU doit maintenant suivre l'exemple de Georgetown et démettre de ses fonctions Mme Albanese ", a poursuivi M. Neuer. "Il ne devrait y avoir aucune place dans le système des droits de l'homme pour les responsables qui encouragent la haine et excusent le terrorisme."

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