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Le slogan "Mondialiser l'intifada" est une incitation à la haine, estime un responsable australien


Les événements récents montrent concrètement les conséquences de tels slogans, a jugé le trésorier de l’État de Nouvelle-Galles du Sud

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  • Australie
  • Antisémitisme
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Illustration - Le slogan "Globalize the intifada" (Mondialiser l'intifada) déployé dans une manifestation anti-israélienne
Illustration - Le slogan "Globalize the intifada" (Mondialiser l'intifada) déployé dans une manifestation anti-israélienneKena Betancur / AFP

En Australie, le slogan "Globalize the intifada" (Mondialiser l'intifada) est désormais ouvertement qualifié de discours de haine par certains responsables politiques, dans le sillage de l’attentat meurtrier perpétré lors d’une célébration de Hanoucca à Bondi Beach, à Sydney. Cette prise de position intervient alors que le débat s’intensifie autour des limites de la liberté d’expression dans les manifestations pro-palestiniennes.

Le trésorier de l’État de Nouvelle-Galles du Sud, Daniel Mookhey, a estimé que ce slogan relevait clairement de l’incitation à la haine. S’exprimant quelques jours après l’attaque, il a jugé que les événements récents montraient concrètement les conséquences de tels mots d’ordre. Selon lui, scander "Mondialiser l'intifada" revient à tenir un discours haineux qui fracture la société et met en danger la cohésion sociale. "Il n’y a pas de place pour cela dans une protestation pacifique", a-t-il déclaré, cité par le Sydney Morning Herald.

Video poster
Attentat de la plage de Bondi : l'analyse d'Erin Molan, journaliste australienne

Ces propos font écho à une évolution similaire au Royaume-Uni, où les autorités ont récemment annoncé un durcissement de leur position à l’égard de ce slogan. Londres a indiqué vouloir sévir davantage contre son usage lors de rassemblements, une décision qui a déjà conduit à plusieurs interpellations peu après son entrée en vigueur.


La question des symboles et slogans haineux est également au cœur des réflexions dans d’autres États australiens. Dans le Queensland, la procureure générale Deb Frecklington a confirmé que le gouvernement envisageait d’élargir la liste des symboles interdits. Elle a rappelé que les emblèmes nazis sont déjà prohibés dans cet État et que des travaux sont en cours pour inclure d’autres signes ou références jugés incompatibles avec les valeurs démocratiques.

Ces déclarations illustrent un durcissement progressif du ton des autorités australiennes face à des expressions perçues comme alimentant la haine ou la violence. Elles s’inscrivent dans un contexte de forte tension, marqué par une recrudescence des actes antisémites et par un débat national sur l’équilibre entre droit de manifester et protection des communautés menacées.

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