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Une rapporteuse de l'ONU remet en cause les preuves de violences sexuelles du 7 octobre


Reem Alsalem a déclaré sur les réseaux sociaux qu’aucune enquête indépendante n’aurait conclu à des viols commis le 7 octobre, contredisant un rapport officiel de l'ONU

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  • 7 octobre 2023
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Reem Alsalem (à gauche), Rapporteuse spéciale des Nations Unies sur la violence contre les femmes, ses causes et ses conséquences, et Orlagh McCann, responsable des droits humains à l'ONU
Reem Alsalem (à gauche), Rapporteuse spéciale des Nations Unies sur la violence contre les femmes, ses causes et ses conséquences, et Orlagh McCann, responsable des droits humains à l'ONUAdem ALTAN / AFP

Une vive controverse agite les instances onusiennes après les déclarations de Reem Alsalem, rapporteuse spéciale de l’ONU sur les violences faites aux femmes, affirmant qu’aucune enquête indépendante n’aurait conclu à des viols commis lors de l’attaque du 7 octobre. Ces propos, tenus vendredi sur les réseaux sociaux, contredisent pourtant frontalement un rapport officiel des Nations unies publié en 2024, qui documente en détail les violences sexuelles perpétrées par le Hamas lors du massacre.

https://x.com/i/web/status/1989592353187745932

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Alsalem a également affirmé qu’aucun Palestinien à Gaza n’aurait applaudi des actes de viol, dans le cadre d’un échange en ligne portant sur une affaire distincte impliquant des soldats israéliens. Ce n’est pas la première fois que la rapporteuse suscite la polémique : en mars dernier, elle avait nié avoir connaissance des bombardements de roquettes subis par Israël, alors même que le Hamas et le Hezbollah visaient des zones civiles.


Video poster
Rapport glaçant sur les crimes sexuels du Hamas le 7/10

La rapporteuse avait déjà co-signé, début 2024, un document accusant l’armée israélienne d’abus sexuels contre des Palestiniennes, en s’appuyant notamment sur des informations relayées par Euro-Med Human Rights Monitor, une ONG présidée par Richard Falk, connu pour ses théories complotistes anti-israéliennes.

https://x.com/i/web/status/1989822608666218805

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Ces prises de position contrastent avec les conclusions d’une mission d’experts dépêchée par l’ONU en février 2024, dirigée par Pramila Patten, représentante spéciale du secrétaire général pour les violences sexuelles en conflit. Après avoir visionné plus de 50 heures d’images, examiné 5 000 photographies et mené 34 entretiens indépendants, l’équipe avait établi des "motifs raisonnables" de croire que des viols et viols collectifs avaient eu lieu à plusieurs endroits : le site du festival Nova, la route 232 et le kibboutz Re’im. Les experts incluaient notamment un médecin légiste et des spécialistes des témoignages de victimes.

Video poster
L'ONU dévoile son rapport sur les violences sexuelles

Les conclusions de l’ONU ont été corroborées par l’Association des centres d’aide aux victimes de viol en Israël. Dans un rapport fondé sur des témoignages confidentiels, des récits de premiers intervenants et des preuves photographiques, l’organisation a documenté des viols, des mutilations génitales et des violences sexuelles commises parfois devant des proches, transformant ces crimes en arme de terreur systématique. La plupart des victimes auraient été tuées, certaines pendant même l’agression.

Enfin, en août, le secrétaire général António Guterres a inscrit le Hamas sur la liste noire des groupes "crédiblement soupçonnés" d’utiliser le viol comme méthode de guerre, renforçant encore la contradiction entre les faits établis et les déclarations d’Alsalem.

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