pourparlers

Un dialogue fragile, alors que Moscou se dit ouvert aux pourparlers tout en poursuivant ses offensives.

"Israël demande des négociations, et lorsque nous montrons notre volonté, ils refusent de nous rencontrer. C’est un sujet que j’aborderai avec les Américains", a déclaré Nawaf Salam

Ces divergences, dans un contexte de négociations tendues à Doha, soulignent les défis d’un accord global

Itamar Ben Gvir fustige le projet d’accord avec le Hamas, une « reddition » qui, selon lui, offre « la victoire au terrorisme ».

Alors que les délégations se retrouvent à Doha pour des pourparlers décisifs, le Hamas impose des conditions strictes, mêlant aide humanitaire massive et retrait militaire israélien.

"Il n'y a aucune justification à poursuivre les pourparlers indirects entre l'Iran et les États-Unis au vu du comportement barbare persistant d'Israël"

10 otages vivants et 18 morts devraient être libérés au cours de la première semaine de cessez-le-feu

Une source américaine a souligné la détermination de l'administration Trump à poursuivre les efforts diplomatiques

Les discussions auraient débuté quelques jours seulement après la visite du président syrien Ahmed al-Sharaa aux Émirats arabes unis le 13 avril dernier

"Les négociations auraient dû commencer et se terminer il y a longtemps, Netanyahu donne la priorité à la coalition, et nous en payons tous le prix, avec les intérêts"

"Les plans israéliens de reprise des combats à Gaza sont une menace pour les otages : ils ne seront libérés que par le biais de négociations", a assuré le porte-parole du mouvement terroriste

Certains des contacts menés par l'émissaire de Trump avec l'organisation terroriste ont été menés sans coordination avec Israël

Israël dispose de "preuves certaines" confirmant qu’une importante partie des otages peut encore être sauvée. La plupart sont aux mains du Hamas", a affirmé ce même responsable israélien

Le Hamas s'est contenté de renvoyer la proposition modifiée selon ses voeux, nécessitant une poursuite des négociations

Israël exigeait la libération de 40 otages parmi les plus fragiles, mais le Hamas a fait savoir qu’il n'en détenait pas un tel nombre "vivants"

"L'affirmation selon laquelle c'est le Premier ministre, et non le Hamas, qui a torpillé l'accord est un mensonge. C'est le Hamas qui torpille tous les accords, en refusant de revoir ses exigences"

"Israël continuera à se battre jusqu'à ce que tous ses objectifs soient atteints"

L'ensemble du gouvernement israélien devra ensuite l'approuver et Itamar Ben Gvir et Betsalel Smotrich ont déjà prévenu qu'ils pourraient quitter la coalition si un tel accord était conclu

Abbas Kamel devrait rencontrer le patron du Mossad David Barnea et le chef du Conseil national de sécurité Tzachi Hanegbi

"En ce qui concerne Israël, il s'agit de 33 otages dont des femmes, des soldats, des adultes, des malades, y compris des handicapés mentaux, et des blessés"

Le Hamas a déclaré ne pas être intéressé par un accord, à moins qu'Israël ne s'engage à respecter ses conditions

Le Hamas n'est pas disposé à accepter quoi que ce soit d'autre qu'un cessez-le-feu permanent, son aile militaire se disant prête à affronter une offensive de Tsahal à Rafah

"Même si nous souhaitons parvenir à un accord qui mette fin à l'agression, la position israélienne reste inflexible", a déclaré le Hamas

"Il n'y a aucun progrès" a déclaré un responsable du Hamas après que les télévisions égyptienne et israélienne ont rapporté l'inverse