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Volodymyr Zelensky a annoncé que plusieurs projets de documents, dont des garanties de sécurité et un cadre pour mettre fin à la guerre, avaient été préparés à l’issue de discussions menées à Miami.
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Elle interpelle responsables politiques et leaders communautaires pour rappeler une promesse martelée depuis le 7 octobre : aucune nouvelle phase tant que tous les otages ne sont pas rentrés chez eux.
De Gaza à la Syrie en passant par le Liban, il a défendu une approche mêlant dissuasion militaire, pression politique et renforcement de l’alliance stratégique israélo-américaine.
Le taux de 15 % sera maintenu, malgré de larges exemptions sectorielles destinées à préserver la compétitivité d’Israël.
Caracas dénonce un acte de « piraterie » et promet une riposte diplomatique, sur fond de tensions croissantes entre les deux pays.
Il a mis en garde contre toute intervention militaire des États-Unis au Venezuela, qu’il juge porteuse d’une « catastrophe humanitaire », alors que Donald Trump n’exclut pas le recours à la force.
Benjamin Netanyahou prévoit de présenter au président américain plusieurs options de nouvelles frappes contre l’Iran, face aux inquiétudes croissantes d’Israël sur l’expansion du programme iranien.
Ancien otage devenu porte-voix, il alerte sur ce qu’il décrit comme une lutte globale entre le bien et le mal, et affirme que la menace terroriste dépasse désormais largement les frontières d’Israël.
Plus de 70 cibles ont été frappées, selon Washington, sur ordre du président Donald Trump.
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Le texte affirme que l’usage du terme « Cisjordanie » vise à « effacer l’identité juive de la Judée-Samarie ».
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Washington dénonce une instrumentalisation de la justice internationale et réaffirme son opposition à toute compétence de la CPI sur des ressortissants israéliens.
Le texte, défendu par l’élue républicaine Marjorie Taylor Greene, est désormais attendu au Sénat, sur fond de fortes oppositions politiques et associatives.
« Les Juifs et la lutte contre l’antisémitisme sont cyniquement utilisés pour servir un agenda anti-démocratique », écrit-il,
Cette opération s’inscrit dans une série d’actions menées par Washington pour entraver les réseaux clandestins d’approvisionnement iraniens.
Selon plusieurs sources citées par Reuters, les États-Unis ont temporairement restreint le partage de certains renseignements sensibles en raison d’inquiétudes sur la conduite de la guerre à Gaza.
Cette interception, visant un navire sanctionné pour ses liens présumés avec l’IRGC et le Hezbollah, pourrait marquer le début d’une série de missions similaires.
Le Premier ministre espagnol a décrit 2025 comme « une année terrible pour le peuple palestinien »
Une mesure destinée à renforcer le contrôle aux frontières, mais qui suscite déjà de vives inquiétudes.
Catholique pratiquant, il exhorte le souverain pontife à reconnaître cette réalité et à appeler les Palestiniens à accepter l’existence d’Israël comme préalable à toute avancée.
Il raconte sa rencontre avec d’anciennes otages et son désir de voir Israël se relever.
Selon Axios, cette rencontre de haut niveau vise à relancer la coordination entre les trois acteurs au moment où le processus de paix à Gaza doit entrer dans une nouvelle phase.
« Tout ennemi d’Israël est un ennemi des États-Unis », rappelant que la menace iranienne vise également directement Washington.
Un dialogue fragile, alors que Moscou se dit ouvert aux pourparlers tout en poursuivant ses offensives.
Chargé de relancer l’initiative américaine pour Gaza, Mike Waltz se rend en Jordanie puis en Israël afin d’obtenir un soutien régional accru.
