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"Il s'agit là d'un nouvel appel à la destruction de l'État d'Israël par l'Iran et ses mandataires, visant cette fois-ci notre frontière nord", a déclaré le porte-parole international de Tsahal
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Il accuse Téhéran d’ingérence, pointe le rôle du Hezbollah et affirme que Beyrouth cherche avant tout à préserver sa stabilité par la voie diplomatique.
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Israël prendra les choses en main, même si cela devait entraîner plusieurs jours de combats ou une reprise des hostilités dans le nord du pays
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"Chaque jour d’inaction rapproche le Liban d’une nouvelle guerre"
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L'appareil a finalement atterri sans encombre en Israël avec son équipage et ses nombreux passagers à bord
Nabih Berri aurait sollicité d'Ali Khamenei l'émission d'une "fatwa", un décret religieux, qui autoriserait le Hezbollah à remettre ses missiles de précision et son arsenal de drones
Il espère que les pourparlers indirects avec Israël permettront d’éviter une escalade majeure.
ll met toutefois en garde contre la participation de civils aux mécanismes de surveillance, qu’il juge inappropriée.
La France et d'autres pays européens envisagent que les forces de la FINUL, dont le mandat expire l'année prochaine, étendent leur mission à la frontière libano-syrienne
Il s’agit de la toute première initiative du genre
Les responsables israéliens ont présenté aux Etats-Unis de nouvelles preuves attestant du réarmement de l'organisation terroriste
Entre recueillement sur les lieux du drame et appels à l’espérance, il a placé les jeunes au cœur de son premier grand déplacement au Moyen-Orient.
Selon Tsahal, le mécanisme censé faire respecter le cessez-le-feu par le Hezbollah ne remplit pas efficacement sa mission face aux efforts de reconstitution de l'organisation terroriste
Le diplomate a refusé de se prononcer sur la probabilité de pourparlers entre Israël et le Liban
L’inquiétude de Tsahal a été renforcée par un incident récent : une note administrative de la FINUL, retrouvée par l’armée, y qualifiait l'État hébreu d’"ennemi israélien"
L'aviation israélienne intensifiera significativement ses frappes au Liban, y compris dans des zones jusqu'ici épargnées à la demande de l'administration Trump
« Nous profitons de l’occasion de votre visite bénie pour réaffirmer notre engagement envers la coexistence », écrit le Hezbollah.
Malgré les soupçons initiaux, un juge du tribunal militaire de Beyrouth a ordonné sa libération sans condition, estimant qu’il n’existait aucune intention d’espionnage
Dans un contexte de tensions persistantes au nord, l’armée affirme agir strictement dans le cadre de l’accord pour neutraliser toute menace et maintenir la stabilité de la frontière.
Téhéran a envoyé 1 milliard de dollars au Hezbollah en quatre mois alors que le pays fait face à des pénuries d'eau, des coupures d'électricité et une pollution étouffante
"Nous ne déposerons jamais les armes", ont assuré les sympathisants du groupe terroriste
Le Hezbollah ne disposerait plus de capacités militaires suffisantes pour maintenir seul sa puissance opérationnelle
Entre peur d’une guerre civile, pressions internationales et paralysie politique à Beyrouth, il estime qu’Israël ne doit plus « faire le travail à la place de l’État libanais ».
"Israël demande des négociations, et lorsque nous montrons notre volonté, ils refusent de nous rencontrer. C’est un sujet que j’aborderai avec les Américains", a déclaré Nawaf Salam