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"Je continue à considérer les Juifs comme des terroristes. Je ne peux envisager de vivre en paix avec les occupants"
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Un suspect aurait été interpellé, d’après des sources arabes, sans que les circonstances exactes ou les motivations précises de l’attaque ne soient officiellement détaillées
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Considéré comme l’un des architectes du massacre du 7 octobre, ce vétéran du mouvement terroriste dirigeait ces derniers mois la production d’armes du Hamas.
L’incident, survenu dans le centre de la Syrie, intervient alors que Washington et Damas affichent un rapprochement inédit dans la lutte contre le groupe État islamique.
Une mesure économiquement nécessaire mais politiquement explosive dans un pays encore marqué par la répression meurtrière des précédentes hausses.
Cette interpellation, dénoncée comme « violente » par ses proches et par le Comité Nobel, relance les inquiétudes sur la répression des voix dissidentes en Iran.
Il accuse Téhéran d’ingérence, pointe le rôle du Hezbollah et affirme que Beyrouth cherche avant tout à préserver sa stabilité par la voie diplomatique.
"Si ce qui dérange le Hamas, c'est que des habitants de Gaza affirment que l'organisation porte une part de responsabilité dans leurs souffrances, alors nous continuerons à les diffuser largement"
Des visites inédites dans d’anciennes synagogues de Damas et d’Alep se déroulent également sous protection officielle.
Ces groupes opérant depuis les zones contrôlées par Israël affirment enregistrer un afflux de recrues depuis le cessez-le-feu d’octobre, ravivant les tensions internes à Gaza.
Pour la première fois, l’ONG estime que l’ampleur et la nature des exactions dépassent le cadre des crimes de guerre déjà reprochés au Hamas et relèvent clairement des crimes contre l’humanité
Le Hamas aurait stocké ces produits dans un entrepôt dépendant du ministère de la Santé à Gaza afin de renforcer son discours sur une famine orchestrée par Israël
"Le Hamas cherche à écraser toute critique depuis la trêve : ils veulent prouver qu’ils ont 'gagné' en réduisant au silence ceux qui montrent la réalité"
Le navire avait quitté le port d'Ashdod lundi et le contact perdu quelques heures plus tard alors qu'il se situait au large des côtes chypriotes
Le mouvement terroriste refuse tout désarmement imposé.
Cette catégorie concerne principalement des personnes condamnées pour meurtre ou pour participation à des attentats.
Nabih Berri aurait sollicité d'Ali Khamenei l'émission d'une "fatwa", un décret religieux, qui autoriserait le Hezbollah à remettre ses missiles de précision et son arsenal de drones
Des documents saisis détaillent une partie de ces flux, tandis que plusieurs responsables du dispositif ont été identifiés par Israël.
Le Caire s’oppose aussi aux conditions imposées par Israël au passage de Rafah, dénonçant tout scénario de "déplacement forcé" des Palestiniens.
"Nous savions que les choses n'allaient pas bien, mais pas à ce point"
Elle a accusé Israël d’être hostile à la solution à deux États et de compter en son sein des responsables incitant à la haine "contre les Palestiniens, les Arabes et les musulmans"
"Il n'y a pas d'autre solution que le désarmement des factions palestiniennes et la présence d'une autorité unique"
"Le Hamas essaie de minimiser notre importance en prétendant que nous ne sommes que quelques dizaines, mais ce n'est pas le cas. Nous ne changerons pas de cap"
Isarël a réagi en affirmant que ces déclarations constituent "une contradiction directe avec les principes mêmes du plan de paix"
